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TURNSTILE
Crédit : Atiba Jefferson
Le groupe américain de punk hardcore Turnstile a sorti son quatrième album, Never Enough, le 6 juin, un projet plus accessible que ses précédents, tout en conservant sa force brute et son énergie live. Loué par la critique comme un équilibre réussi entre puissance et mélodie, il intègre naturellement les standards du genre – mosh pits garantis.
En réponse à l’accueil enthousiaste, Turnstile lance une tournée européenne cet automne, en parallèle d’une tournée nord-américaine. Le parcours européen commencera le 31 octobre à Dublin, passera par Glasgow (2 novembre) – où ils reviennent après un succès écrasant à Glastonbury – et inclura le 16 novembre au Zénith de Paris. La billetterie ouvrira en prévente mercredi à 10 h, puis en vente générale vendredi. Des groupes comme High Vis, The Garden et Mannequin Pussy assureront la première partie.
Turnstile promet un spectacle puissant où le hardcore rime avec élégance, porté par la sincérité de Brendan Yates et la maîtrise technique du groupe. Un rendez-vous à ne pas manquer pour les amateurs de live intense.
À l’approche du concert d’adieu Back to the Beginning qui se tiendra le 5 juillet, prochain à Birmingham, Black Sabbath a reçu la distinction suprême de sa ville natale : la Freedom of the City of Birmingham. La cérémonie du 28 juin a réuni Ozzy Osbourne, Tony Iommi, Geezer Butler et Bill Ward pour recevoir cette reconnaissance pour leur contribution unique au patrimoine musical mondial.
La nouvelle ne s’arrête pas là : un album de démos datant de l’époque où le groupe s’appelait encore Earth, réalisé en 1969, sera publié le 25 juillet par Big Bear Records. Earth: The Legendary Lost Tapes compile des enregistrements rares, remasterisés pour la première fois, offrant un aperçu de leur son naissant avant le tournant heavy metal. Un document incontournable pour les puristes.
Sous le nom de Velvet Sundown, un groupe indie rock a explosé sur Spotify : plus de 550 000 auditeurs mensuels, deux albums parus en quelques semaines. Pourtant, ses membres — Gabe, Lennie, Milo, Orion — semblent entièrement fictifs. Aucune trace d’eux sur le net, photo suspectes, crédits auto-attribués, absence totale de tournée ou de label.
Deezer indique que les morceaux sont peut-être créés par IA, à 98 % de fiabilité. Spotify reste silencieux. Face à un tel phénomène, la question se pose : doit-on laisser l’IA dominer les classements sans transparence ? Ce cas souligne un défi majeur pour l’industrie : distinguer le vrai du virtuel.
Mathew Collins, 20 ans, plus jeune fils du chanteur et batteur Phil Collins, ne suit pas les traces musicales de son père. Il vient de signer en tant que milieu de terrain au sein de l’Austria Salzbourg, club de deuxième division en Autriche.
Un choix de carrière original dans la famille Collins, où la musique règne depuis des générations. Et s’il devait un jour signer au PSG, Mathew entendrait résonner à chaque match d’entrée sur le terrain le célèbre Who Said I Would de son père… comme un clin d’œil involontaire au destin.
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