Troisième et dernière partie de l'interview de Green Day réalisée par Mathilde Courjeau. Elle demande à si le nom de l'album Revolution Radio a un rapport au média radio. Voici sa réponse :
"J’aime la connexion, le sens de communauté qu’il y a avec la radio, on n’est pas seul quand on écoute tous la même chose. On a eu une radio pirate ensemble il y a quelques années. La sensation de pirater les ondes était assez cool. Mais on s’est fait choper par la FCC (L’équivalent américain du CSA), la commission fédérale de la communication. La police de la radio quoi. On a toqué à notre porte parce qu’on avait utilisé une énorme antenne, et on prenait le dessus sur d’autre radios… Et en plus on avait utilisé trop d’électricité donc on avait provoqué une coupure de courant dans le quartier…Mais franchement ça valait le coup ! »
Un morceau qui fait partie de ces hymnes anti système, qui a marqué l'histoire de la fin du 20ème siècle. On le retrouve en 1989 sur l'album Freedom de Neil Young. Il s'inspire pour l'écrire des slogans de campagne de George Bush (père), reprend ses promesses et des extraits de son discours d'introduction à la maison blanche de façon sarcastique pour les critiquer lui et son administration.
Comme Born Is The USA de Springsteeen, il est arrivé à plusieurs reprises que cette chanson soit utilisée à mauvais escient, par des partis pro républicains, encore récemment lorsque Donald Trump avait annoncé sa candidature d'ailleurs. Neil Young a toujours répliqué rapidement en rappelant l'aspect rebelle de ses paroles. Ce morceau par son refrain "People rockin in the free world", a été aussi un hymne officieux de la chute du mur de Berlin.
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