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Propreté des rues : ce qui va changer

REVUE DE PRESSE - Crottes de chien, papiers et urine envahissent les rues des grandes villes. Une tendance qui devrait changer ces prochaines semaines grâce à de nouvelles initiatives à Paris, alors que d’autres villes ont déjà pris les devants.

rue de Paris

Jules Roy

Que ce soit les touristes ou les habitants de Paris, tout le monde critique la ville pour son côté sale. La capitale a donc décidé de passer à la vitesse supérieure. A partir du 1er octobre, un mégot ou un chewing gum jeté sur la voie publique, ce ne sera plus 35 mais 68 euros  d'amende.

Pour se donner une idée, Paris est tellement sale, que les Japonais sont traumatisés. Depuis huit ans certains d'entre eux se réunissent une fois par mois avec l'association Green Bird pour nettoyer les lieux touristiques de la ville. Plus précisément, ils sont atteint du syndrome de Paris. C’est-à-dire le décalage entre l'idée qu'ils se font de la ville et la réalité.

En dehors de la capitale, d'autres villes ont deja pris les devants pour lutter contre la dégradation de leurs rues. De nombreuses mairies misent sur la sensibilisation plutôt que sur les sanctions. Depuis 2012, la ville de Metz a des brigades qui identifient les besoins des commerçants en fin de marché (poubelle supplémentaire par exemple). A Brest, on mise depuis trois ans sur le matraquage visuel régulier, avec des affiches qui mettent en scène des vrais Brestois surnommés les "serial cleaneurs".

Enfin, la ville de Grenoble a misé sur une autre option depuis bien longtemps. Un héros masqué : "Super Titi" qui attaque ceux qui polluent les rues. Sa vidéo avait été partagée plus de 500 000 fois sur les réseaux sociaux il y a 5 ans.

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Source : Le Parisien

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