Bernard Lavilliers dans "Clap Hands" du 23 septembre présenté par Gaëtan Roussel

Bernard Lavilliers aime le vert, la boxe les voyages et les rencontres. Ses 22 albums nous invitent parfois à se laisser aller les yeux fermés, parfois à réfléchir les yeux ouvert. Que l'on partage ses idées ou pas, sa voix est intelligible et sa personnalité ne laisse pas indifférente. Il n'a rangé ni son crayon ni son passeport dans son tiroir, mais a-t-il raccroché les gants ? Dans les années 70, il sort pas moins de 7 albums studios, il rencontre Léo Ferré et donne son premier Olympia. Il s'installe à Saint Malo à la fin des années 70. Dans les années 80 il sort 6 albums, il quitte Saint Malo pour Los Angeles mais regagne le port breton quelques années plus tard. Il croise François Mitterand au ministère de la Culture et le président français lui demande ce qu'il fait de ses journées, "je chante des causes perdues sur des musiques tropicales". Dans les années 90  il sort trois albums, et en 91 il sort un album intitulé Causes perdues et musiques tropicales. Dans les années 2000 il sort 5 albums, il voyage, des allers, des retours, il n'a de cesse de flâner aux alentours.