Ce matin, c'était la 208e et la dernière émission de la saison du Double Expression, du coup l'émission était en direct de la terrasse de RTL2 pour une ambiance grande Kermesse de fin d'année avec un chamboule tout, la pêche aux canards, de la barbe à papa, un bar à mojitos... Mais surtout des invités de marque, en interview et en live, Boulevard des Airs et Texas.
Boulevard des Airs a interprété Emmène-Moi et Bruxelles dans la dernière du Double Expresso.
Vous avez pas mal de concerts prévus cet été ?
Au moins jusqu'au 14 août, on finit à Bruxelles, au Bruxelles Summer Festival. Une fois que tout ça sera terminé, on posera les valises et on verra pour la suite.
Vous pensez déjà à faire un nouvel album ?
On est encore en plein dans les concerts et les festivals donc on n'y pense pas trop. On est vraiment concentré sur la tournée, on sait que c'est bientôt finit et on souhaite en profiter au maximum. On a encore du pain sur la planche !
Vous avez 13 ans d’existence, c'est bien ça ? On est pote depuis le lycée, on s'est rencontré en 2004, et l'histoire continue. On a grandi ensemble, on se connait de mieux en mieux. Il arrive qu'on parte aussi en vacances ensembles. Pour la création du deuxième album, on a habité ensemble.
The Conversation de Texas en direct de la dernière du Double Expresso
Let's Work it Out, extrait de Jump on Board, le dernier album de Texas :
Vous avez bientôt 30 ans de carrière, il y a une fidélité du public, ça doit être super comme sensation ?
Oui bien sûr surtout le public français qui est fidèle depuis les débuts du groupe en 1989. On adore notre public français, nos fans français. Et même si dans certains pays les gens sont lassés de notre musique, le public français est toujours là.
Est-ce que c'est toujours aussi facile de sortir des chansons ?
Ce n'est pas toujours facile, ce nouvel album était assez facile à réaliser mais il peut arriver que certaines fois ce soit complètement l'inverse. On n'a pas besoin d'être tout le temps numéro 1 pour connaître le succès. Mais ça fait toujours très plaisir d'avoir autant de succès oui.
5 nouveaux concepts qui veulent révolutionner l'hôtellerie. Pour séduire la génération Y qui s'éloigne des chaînes (trop) standardisées pour lui préférer boutique-hôtels indépendants (pour les plus aisés) ou locations Airbnb (l'option économique) des marques tentent d'émerger avec des concepts innovants. Okko hotels a imaginé des hôtels urbains, où tous les services sont compris : Aperitivo tous les soirs, wifi haut débit, VOD, snacking 24/24, espace forme. La chaîne hollandaise Golden Tulip propose maintenant une offre "playful" : le papier en-tête se transforme en tulipe, le shampoing fait des bulles, les assiettes apéritives se transforment en jeu de morpions... Les M.O.B. Hotel of the People, ont été imaginés pour recevoir les voyageurs bobo "comme à la maison". avec resto bio, une librairie, un marché local de producteurs, un potager, un ciné en plein air, des cours de yoga ou de méditation... Yooma-Urban lodge met à l'honneur la chambre "spéciale tribu", prévue pour quatre à six couchages avec un bar lounge, une salle de sport avec sauna, une école de cuisine, une résidence d'artistes et un potager sur le toit. Pour finir Jo & Joe propose des hôtels à petits prix où les chambres simples mais bien pensées ne sont utilisées que pour dormir, et où tout le charme repose sur les espaces communs.
Un site pour revendre vos places de concert à coup sûr. La start-up lyonnaise IndiTicket propose de racheter votre billet et ce, même s’ils ne trouvent pas de repreneurs derrière. IndiTicket peut proposer un prix de rachat des billets en fonction des chances de revente. Un concept simple mais qui permet de jauger les "risques". Par exemple, une place à 15 euros pour un petit concert sera rachetée quatre euros et ensuite revendue par IndiTicket à cinq. Tandis que lors d'une soirée très convoitée où tout était complet, la start-up a réussi à revendre les places seulement 50 centimes en dessous du prix d’origine, parvenant ainsi à se faire de la marge sur les billets rachetés.
Arnaud Tsamere, Justine Salmon et Grégory Ascher vous ont parlé ce matin d'un américain qui a toujours une carte Monopoly sur lui pour éviter de se faire arrêter. Arrêté le week-end du 24 juin à Hastings, dans le Minnesota. Le shérif adjoint du comté de Dakota a demandé à un automobiliste de se garer, sa voiture correspondant à celle d'un homme visé par un mandat d'arrêt. En cherchant l'identité de l'homme, l'agent s'est rendu compte qu'il était sous un autre mandat d'arrêt pour possession de substance illicite, cette fois émanant du comté voisin, il a alors fouillé le suspect, et trouvé son arme secrète... une carte "Chance - vous êtes libéré de prison" du jeu de société Monopoly. Si la carte a fait rire les officiers du comté de Dakota et les utilisateurs de Facebook, elle n'aura pas permis à l'homme de 35 ans d'échapper à la case prison.
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